Albert Anatole Ayissi
Albert Anatole Ayissi explore les motivations derrière les actions de Canal France International (CFI) en Afrique, en particulier au Burkina Faso, au Mali, et au Niger.
Voici les points principaux à retenir de la vidéo :
Suspension de l'Appui aux Médias
Albert Anatole Ayissi commence par mentionner la suspension discrète de l'appui de CFI aux médias dans les pays africains mentionnés, suite aux coups d'État qui ont renversé les gouvernements en place. Cette suspension est présentée comme une forme de diplomatie de chantage de la part de la France, visant à exercer une pression politique et économique sur ces pays.
Critique de la Dépendance Médiatique
Le discours critique fortement la dépendance des médias africains vis-à-vis du financement et du soutien étrangers, en particulier de la France. Il est suggéré que cette dépendance compromet la liberté de presse et l'objectivité journalistique, les médias financés par l'étranger étant accusés de servir les intérêts étrangers plutôt que ceux des peuples africains.
Appel à l'Indépendance Médiatique
Albert Anatole Ayissi appelle à une plus grande indépendance des médias africains, soulignant la nécessité pour les pays africains de financer et de soutenir leurs propres médias pour contrer les narratifs étrangers et promouvoir une image positive et authentique de l'Afrique.
Critique de la Politique Étrangère Française
La politique étrangère française est critiquée pour son approche jugée néocoloniale en Afrique, avec une attention particulière sur la manière dont la France utilise son influence médiatique pour maintenir son emprise sur ses anciennes colonies.
Appel à l'Action pour les Gouvernements Africains
Anatole Ayissi se termine par un appel aux gouvernements africains pour qu'ils prennent des mesures concrètes afin de soutenir et de financer les médias locaux, afin de renforcer la souveraineté médiatique et culturelle de l'Afrique.
En résumé, la vidéo de Panafricanistes TV met en lumière les défis et les enjeux liés à la souveraineté médiatique en Afrique, critiquant l'influence étrangère sur les médias africains et appelant à une plus grande indépendance et à un soutien accru des médias locaux par les gouvernements africains.
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